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Je suis ostéopathe, diplômée en 2014 de l'Ecole d'Ostéopathie Sutherland IDF (maintenant EOP).

A l'issue de cette formation passionnante de 5 ans, j’ai réalisé qu'il me restait beaucoup à apprendre sur la compréhension du corps humain et de sa dynamique. Je notais en particulier que beaucoup de douleurs ou de gênes chroniques étaient liées à un état émotionnel du patient, que je ne parvenais pas à analyser en profondeur faute de connaissance adaptée.

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Parallèlement à mes études d’ostéopathe, par l'intermédiaire de différents thérapeutes je découvrais l'étiomédecine (méthode de libération émotionnelle cf. page etiomédecine). J'ai progressivement senti que cette méthode était, pour moi, la clé essentielle de compréhension de ce lien étroit qui existe entre le corps et l'esprit. En 2018, je décidai finalement de me former auprès de Max Bernardeau. Ce fût une révélation et une véritable libération de ma sensibilité.  j'ai enfin pu comprendre et accueillir toutes ces nouvelles données en conscience et je me suis sentie mieux armée pour accompagner les patients , même dans les cas les plus complexes.

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Par la suite, j'ai voulu compléter ma pratique de l'ostéopathie par la désengrammation, (une méthode énergétique basée sur des concepts de médecine traditionnelle chinoise cf. page désengrammation) Étant moi-même suivie par un ostéopathe adepte de cette technique depuis des années, j'ai pu juger de sa précision et de son efficacité pratique. Ainsi, en 2021, peu de temps après mon arrivée à Libourne, j’ai suivi les enseignements de Jean-Philippe Foissy, créateur de la désengrammation, pour proposer cette méthode dans une région où elle était encore peu pratiquée.

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Enfin, en plus de ces nouvelles approches, je suis très sensible aux bienfaits de la diététique. Je me documente beaucoup sur ce sujet. Je teste et valide au travers de mon corps toutes mes découvertes pour éviter de rentrer dans des croyances. C’est un pilier essentiel de la santé qui me permet de savoir quand rediriger le patient vers un suivi nutritionnel ou de l'aider dans cette démarche.

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J’ai donc une spécialisation en désengrammation et une spécialisation en Etiomédecine, deux méthodes complémentaires qui me permettent d'avoir une vision holistique du patient.

Libérer l'un pour soigner l'autre : la libération passe parfois par le corps, parfois par l'émotionnel. Ce que je recherche avant tout est de remettre le patient dans une dynamique positive.